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    L'église Saint Jean Baptiste se situe à La Peyrouse, écart de Baume les Messieurs à l'entrée de la plus belle reculée du Jura

    Sigma DP2 Merrill

     

    Baume les Messieurs - église St Jean Baptiste

     

     

    Baume les Messieurs - église St Jean Baptiste tombeau

     

     

    Baume les Messieurs - église St Jean Baptiste

     

     

    Baume les Messieurs - église St Jean Baptiste

     

    Baume les Messieurs - église St Jean Baptiste

     

    Baume les Messieurs - église St Jean Baptiste clocher porche

     

    Baume les Messieurs - église St Jean Baptiste bénitier


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  •  Sigma DP2 Merrill

    Une rivière sous la branche

    Baume les Messieurs - une rivière sous la branche

    Ci-dessus, travaillée

    Ci-dessous, naturelle

    Baume les Messieurs - une rivière sous la branche

     

     

     


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    Sigma DP2 Merrill

     

    Beaume les Messieurs - 02

    Les falaises atteignent une centaine de mètres de hauteur

     

    Beaume les Messieurs - la Seille

     

    Beaume les Messieurs - Pont La Peyrouse

    Pont La Peyrouse à l'ombre des noyers

     

     

     


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    Baume Les Messieurs, village au fond de la vallée, 

     

    Ce petit village qui appartient aux plus beaux villages de France  a une "petite histoire":

    Un petit clic sur le lien ci-dessous et après je vous raconte

    Le saviez vous ?   (voir la vidéo après la pub)

     

     

    Baume les Messieurs - village au fond de la vallée

     

    Le "village perdu au fond de la vallée" de la chanson "Les Trois Cloches", écrite en 1939 par Jean Villard dit Gilles et interprétée par Edith Piaf et Les Compagnons de la chanson en 1945, désigne Baume-les-Messieurs où se serait égaré l'auteur en route pour Paris. Quant au protagoniste de la chanson: Jean-François Nicot, il est directement inspiré de François Nicot (1858-1929) de l'écart de Sermu, dont Gilles avait vu la tombe dans le cimetière du village

     Texte emprunté à Wikipédia

     

    Pour les amoureux des textes:

    Village au fond de la vallée,
    comme égaré, presqu'ignoré.
    Voici qu'en la nuit étoilée
    un nouveau-né nous est donne.
    Jean-Francois Nicot il se nomme.
    Il est joufflu, tendre et rose.
    A l'église, beau petit homme,
    demain tu seras baptise.

    Une cloche sonne, sonne.
    Sa voix, d'écho en écho,
    dit au monde qui s'étonne:
    "C'est pour Jean-Francois Nicot.
    C'est pour accueillir une âme,
    une fleur qui s'ouvre au jour,
    a peine, a peine une flamme
    encore faible qui réclame
    protection, tendresse, amour."

    Village au fond de la vallée,
    loin des chemins, loin des humains.
    Voici qu'après dix-neuf années,
    cœur en émoi, le Jean-Francois
    prend pour femme la douce Elise,
    blanche comme fleur de pommier.
    Devant Dieu, dans la vieille église,
    ce jour, ils se sont mariés.

    Toutes les cloches sonnent, sonnent,
    Leurs voix, d'écho en écho,
    merveilleusement couronnent
    la noce à Francois Nicot.
    "Un seul cœur, une seule âme",
    dit le prêtre, "et, pour toujours,
    soyez une pure flamme
    qui s'élève et qui proclame
    la grandeur de votre amour."

    Village au fond de la vallée.
    Des jours, des nuits, le temps a fui.
    Voici qu'en la nuit étoilée,
    un cœur s'endort, Francois est mort,
    car toute chair est comme l'herbe,
    elle est comme la fleur des champs.
    Epis, fruits murs, bouquets et gerbes,
    hélas! vont en se desséchant...

    Une cloche sonne, sonne,
    elle chante dans le vent.
    Obsédante et monotone,
    elle redit aux vivants:
    "Ne tremblez pas, cœurs fidèles,
    Dieu vous fera signe un jour.
    Vous trouverez sous son aile
    avec la vie éternelle
    l'éternité de l'amour."

     

     


     

     


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